Quand l’ONU est devenue une arme pour le Hamas
L’Impact des Rapports Inexacts sur Gaza et la Réputation Internationale d’Israël
Les récentes publications de l’ONU sur la situation à Gaza ont provoqué un tollé sur la scène internationale, entraînant des critiques acerbes contre Israël. Cependant, une analyse plus approfondie révèle des inexactitudes significatives dans ces rapports, soulevant des questions sur l’impartialité et la fiabilité des informations fournies.
Fin avril, un rapport de l’ONU sur la sécurité alimentaire mondiale indiquait que 577 000 personnes à Gaza étaient au bord de la famine. Cette information alarmante a alimenté les accusations contre Israël, accusé de provoquer une crise humanitaire. Toutefois, des rapports plus récents de l’ONU et d’autres sources contredisent ces affirmations, affirmant qu’il n’y a pas de famine à Gaza. Le Comité d’examen de la famine des Nations Unies (FRC) a explicitement déclaré qu’il n’y avait aucune preuve de famine ou de pénurie alimentaire grave dans la région.
Le rapport du FRC a révélé que, malgré les souffrances dues au conflit, la disponibilité alimentaire à Gaza s’est améliorée depuis février 2024. Selon ce comité, près de 100 % des besoins caloriques quotidiens de la population sont satisfaits. Par ailleurs, des chercheurs de plusieurs universités israéliennes ont corroboré ces conclusions, montrant que les importations alimentaires à Gaza ont considérablement augmenté, et que les marchés locaux sont bien approvisionnés.
Les rapports erronés sur la faim à Gaza ont eu des répercussions profondes, alimentant les accusations de génocide et les critiques sévères contre Israël. En réalité, le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA) a discrètement corrigé ses chiffres sur le nombre de morts à Gaza, réduisant de moitié les estimations initiales. Cette correction souligne un biais potentiel dans la communication des informations, influençant négativement l’opinion publique mondiale.
Face à ces révélations, il est crucial pour Israël de mener une campagne de communication intensive pour rectifier les préjugés évidents des rapports de l’ONU. Israël doit clairement indiquer que ces rapports biaisés nuisent à sa réputation et à sa légitimité internationale. Une telle démarche est essentielle pour contrecarrer les effets des campagnes de désinformation et pour présenter une image plus fidèle de la réalité sur le terrain.
En conclusion, l’ONU, en dépit de son rôle supposé impartial, a montré des tendances qui nuisent à Israël et favorisent les intérêts du Hamas. Il est donc impératif de repenser le rôle de l’ONU dans la gestion de la situation à Gaza et de trouver des mécanismes plus fiables pour rapporter les faits sur le terrain.
David Lévy
Nous avons sans doute manqué quelque chose d’essentiel en ratant une opportunité suite au 7 octobre.
Le président français (et d’autres dirigeant occidentaux) affirme que le Hamas est une entité terroriste…. mais rien n’a suivi.
Nous aurions dû exiger que des lois soient promulguées pour que le traitement de l’information émanant d’une entité terroriste soit traitée … comme telle. Donc, soit ignorée, soit on oblige à entourer le propos de ‘phrases de contextes’ pour en minimiser l’impact.
Donc tout ce qui vient du Hamas est un mensonge. Et doit être ignoré ou considéré comme tel…
De même qu’Al Jazeera qui emploie des journalistes terroristes (le kidnappeur de Noa Argamani)
De même que l’UNRWA qui emploie des terroristes.
Et tout Media contrevenant à ces principes serait accusé de promouvoir le terrorisme.
C’est ce qui aurait dû advenir suite à la déclaration du président Macron et des dirigeant occidentaux.
Malheureusement cette déclaration n’a pas été suivie d’actes et nous sommes encore en train d’en déplorer les effets où le Hamas lance des bombes médiatiques et où Israël peine à ramasser les miettes plusieurs jours après leur explosion….